Une salle inatendu... (Pv : libre)

Le jeune homme était tombé sur une salle au hasard depuis la visite de son professeur, quand il avait ouvert cette salle, une très belle pièce c'était révélé, mais cette pièce était différente des autres....... Il y avait des tapis partout comme dans un dojo....... Un dojo ? Cela devait surement être ça, mais qu'est-ce qu'un dojo faisait ici ? Un club peut-être ?

Rikkyu avait enlevé ses chaussures et ses chaussettes par respect dans un dojo, il connaissait les règles avant de venir dans un dojo comme enlever ses chaussures, saluer les gradés, enfin tout ce qui fallait faire avant de débuter un cours enfin si cela concernée l'art martial...... Il salua le "tatami" avant d'aller dessus, les tapis étaient propres et bien serré entre eux pour ne pas trébucher, mais ce qui lui plaisait le plus c'était la luminosité de la salle cela lui donnait un côté chaleureux tout en restant "zen". Il avait quelque peu pratiqué les arts martiaux avant au plus jeune âge, mais sans plus, car c'était un fils de la forêt, il aimait les randonnées, grimpait aux arbres enfin tout ce qui se relie à la nature.

Il regardait la salle de faut en comble se demandant ce qu'on pouvait pratiquer ici, le judo ? Le taekwondo ? Le karaté ? Ou peut-être est-ce tout simplement une salle de relaxation......

Il soupira en pensant à une salle de relaxation, mais cela lui ferait du bien de se reposer pour mieux réfléchir à une idée d'évasion et puis même si les tapis étaient durs, il était épuiser d'avoir monté et descendu les escaliers pour la visite. Il alla donc s'allonger entre un tapis et un mur fermant tout doucement les yeux espérant que personne n'allait le déranger dans son sommeil, enfin si personne ne se manifestait.

Sai rentrait d'une promenade, elle était la seule personne a pouvoir quitter cet endroit a sa guise. Pour un délai maximum de trois jours, sinon Zephyra viendrait la chercher. Et le boss ne plaisantait pas avec ce sujet, Sai l'avait déjà expérimentée. Alors elle se contentait de faire les courses pour les autres surveillants. Bien sur, elle leurs revendait la marchandise deux fois plus cher. C'était le prix a payer pour avoir des produits de l' extérieurs autres que ceux fournit par la cafétéria. Aujourd’hui, elle avait profité d'une commission de Dark Tsubasa pour faire un détour au parc, elle n'y voyait aucun problème, après tous elle ne transportait pas de produit frais. Ayant contemplée tous son saoul la rivière sans pour autant y entrer. Elle décida de prendre le chemin du retour. Dix petites minutes plus tard, elle était de retours au bercail. Le chemin escarpé qui menait a la ville devait normalement prendre plus de temps mais Sai courrait sur cette distance, son sabre dans le dos. Elle ne mettait donc que dix minutes a traverser la foret. Chargée ou pas chargée. Elle traversa la cour d'un pas rapide, ses sacs de courses serrées dans ses petites mains de porcelaine. Jetant un coup d’œil rapide derrière elle, elle remarqua de la porte de son dojo était ouverte. Quelqu'un était a l' intérieur. Sai ce dépêcha de remettre ses sacs plastique a Dark et partit illico presto vers sa salle. Plus anxieuse que j'amais.

Quand elle fût a l' intérieur, Sai remarqua la pair de chaussures étrangère qui glandait la sans raison apparente. Au moins, l' étranger avait eu la présence d'esprit de les retirer. Elle entra d'un pas toujours aussi rapide et chercha du regard la personne.

Elle le trouva après quelques secondes, il dormait. Sai haussa les épaule et partit se changer. La pression des quelques voyous venant saccager sa salle pour le plaisir retombant un peu. Retirant son masque et attachant ses cheveux. Elle se regarda quelques secondes dans un miroir et confirma qu'elle était méconnaissable. Cette Sai la ne ressemblait en aucun point a la passeuse. Voyou ou pas voyou rien ne l' en pécherait de s’entraîner. Elle sortit son énorme sabre de son fourreau, le frottement de la lame contre le cuir émit un petit couinement et fit ses étirement.

Sai était en train de faire quelques étirement quand elle entendit un grognement. Elle n'y prêta pas spécialement attention. Le nouveau devait s'être réveillé. Mais elle en avait un peu rien a faire, si il voulait partir. Elle ne le retiendrait pas. En fait, elle l'inviterait même a s'en aller. Non que sa présence soit dérangeante mais... Sai n'aimait pas se sentir observée. En plein dans une technique de parade, son bras se bloqua. Elle fronça un peu les sourcils et baissa les yeux. Une main non familière lui touchait le bras. Elle baissa encore un peu les yeux, il était en position de garde. Intéressant. Elle était en position de faiblesse. Elle tourna un peu la tête et regarda son agrésseur. Le type qui dormait. Comme par hasard. Son regard était froid, un regard d'animal.

- Où est la sortie de ce château ?!

La sortie, hum … bonne question. Il employait même le ton qu'y allait avec. Sai ferma les yeux er claqua de la langue. Un éclair rouge et noir fendit le ciel. Italica avait sauté sur l'inconnu, le surprenant assez pour qu'il lâche sa main. Sai fit un salto arrière, se plaçant a bonne distance de son agresseur. Un autre claquement de langue plus tard et son familier était sur son épaule. Elle détailla le jeune homme. Il n' était pas une grande menace. Mais Sai n'aimait pas que on lui dise quoi faire, cet èlève allait l'apprendre a ses dépends. Ici et maintenant.

- La sortie ? Malheureusement pour toi, il n'y a que moi qui y ait accès.

A ce moment, Sai ce mit en marche. Elle doutait franchement que homme animal ait pu y voir quelque chose. Elle avait mit tellement de temps a perfectionner sa vitesse. Elle bondit littéralement sur sa proie, l' immobilisant par une savante clé de bras. Son familier avait sauté sur un tatami entre temps.

- écoute mon chou, je me demande pourquoi tu te pose ce genre de question. Qui t'a dit que tu pouvait sortir, déjà ?Qui est le surveillant, le professeur ou le camarade qui a lancer ce genre d'ânerie ?

- C'est de mon plein grès que je veux sortir personne m'y à forcer ou quoi que ce soit.

Sai rigola, ce garçon agissait tous seul ? Elle resserra sa prise, d'un seul mouvement, elle pouvait lui casser le bras. Mais cela ne l’intéressait pas. Au lieu de sa, elle ébouriffa ces cheveux. Un geste déplacer, qui pouvait sembler humiliant. Mais ce n'était pas le but, Sai voulait juste rigoler.

- allez je te lâche mon chou, mais attention si tu me saute dessus je laisse Ita' te dévorer. D' accord ?

Sans lui demander son avis, elle le lâcha. D' un pas rapide, elle se mit hors de portée. Il avait vraiment la mine déconfite. Sai ne pu s' enpècher de rajouter

- allez ne t'en fait pas, tu pourra ressortir... un jour peut être

Elle soupira et regarda par une fenêtre

- enfin, sa aussi … sa reste a voir...

Le brun écarquilla des yeux en se faisant ébouriffer les cheveux, ce geste était humiliant pour lui de se faire traiter comme un chien surtout après cette clé de bras.... Il tourna la tête doucement pour être en face d'elle, elle le menaçait de jeter sa bestiole sur lui, mais il restait impassible, sa bestiole lui faisait aussi peur qu'un écureuil armé d'une noisette... Il continua de grommeler, regardant cette femme qu'il avait sous-estimé.

Quand elle le lâcha enfin, le garçon se releva se massant doucement le muscle du bras s'avançant doucement vers cette jeune femme l'air froid tout en l'écoutant.

-....... Si je ne peux pas sortir d'ici je créerais ma propre sortie dans ce château s'il n'en a pas...

Il frappa un mur avec violence, mais se contenant pour ne pas le détruire comme autrefois ce qu'il réussit à faire n'égratignant pas le mur, ça serait dommage pour une si belle pièce. Il était plutôt satisfait de son coup, il se redressa regardant avec mépris et colère cette jeune femme tremblant des membres, mais il réussit à se calmer en baissant la tête et en soufflant doucement.

- Un loup-garou ne peut pas vivre ici en captivité...

Il disait cela ironiquement, car il avait toujours du mal à y croire, mais comme son professeur principal, le désigner en tant que loup-garou, il trouvait que c'était le bon moment de le sortir avant de s'adosser contre un mur ses deux bras derrière la nuque pour mieux réfléchir à un moyen de sortir d'ici.